Fiche récapitulative

Encourager et féliciter son enfant est réellement important. Cela lui donne des rétroactions positives, c’est à dire un retour qui vient confirmer une réussite.

Si les rétroactions positives, et donc les encouragements et les félicitations sont si importantes, c’est parce qu’elles causent la sécrétion de dopamine par le cerveau. Il s’agit d’une hormone qui crée une sensation de bien-être et de satisfaction, et qui motivera votre enfant.

Comment faire ?

Donnez des félicitations centrées sur l’action 🎯

Les encouragements et félicitations doivent concerner l’action, et non l’enfant. On ne doit pas dire « c’est bien tu es fort en maths » mais plutôt « c’est bien tu as réussi cet exercice ».

Donnez des encouragements précis et argumentés 🔖

Il faut être précis dans les encouragements en donnant des détails sur ce qui a été réussi et comment cela a été fait.

Par exemple, vous pouvez dire « c’est super, tu as bien lu et compris la consigne ! » (Information sur la réussite) et enchaîner en disant « C’est parce que tu t’es parlé dans ta tête, tu l’as expliquée avec tes mots et tu as pris toutes les informations » (explication des raisons de la réussite).

Félicitez votre enfant immédiatement ⏰

Ce qui est également important, c’est de féliciter et encourager immédiatement après une bonne réponse. Il ne faut pas attendre la fin d’un exercice ou de la séance de devoirs.

En revanche, il y a une petite exception. Il ne faut pas couper un enfant dans une réflexion. Ainsi, même si le raisonnement est bon, veillez à attendre qu’il ait fini avant de le féliciter afin de ne pas lui faire perdre le fil.

Soyez fréquent dans vos encouragements 🗓

Plus vous encouragerez et féliciterez votre enfant, plus il sera motivé et réussira. Ainsi, vous pouvez l’encouragez souvent, dès qu’il réussit une étape d’un exercice ou qu’il comprend une nouvelle notion.

Toutefois, chez Sequoia Education nous sommes très attachés à la cohérence et nous pensons donc que les encouragements et les félicitations doivent toujours être mérités.

L’enfant doit ressentir qu’on ne le félicite pas pour rien, qu’il y a une bonne raison, sinon on risque de l’emmêler.